Dans un an, en mai 2024, se tiendra l’assemblée plénière de l’Organisation Mondiale pour la Santé1, réunissant les délégués de 194 pays. L’ordre du jour sera de ratifier un nouveau traité sur les pandémies2, ce qui officialiserait le changement radical de gouvernance qui s’opère au niveau mondial. Les influenceurs et financeurs de l’O.M.S. – ceux qui la contrôle ne sont pas des États Nations – veulent qu’elle décide seule – c’est-à-dire par-dessus tous les gouvernements – de ce qu’il faudrait faire en cas de pandémie. Avec ce vol de souveraineté, les manipulateurs pourraient officiellement contrôler le corps de chaque individu sur Terre, ce qui est déjà le cas mais au forceps, en toute illégalité avec le consentement extorqué pour une injection expérimentale.
Ce que nous avons vécu dans la période COVID – avec ce terrible constat que rien n’a été fait pour la santé des gens, que tout a été fait pour générer des profits colossaux pour l’industrie pharmaceutique et les marchés financiers, et que tout a été fait pour mettre en place le contrôle de l’identité et du schéma vaccinal par voie numérique et par n’importe qui – serait alors amplifié par l’éloignement entre nos sujets de préoccupations locaux et les lieux de prises de décision pour la collectivité. Si ce traité passe sans que nous soyons pleinement conscient de ses finalités cachées, nous serions condamnés à revivre l’enfer totalitaire de la crise COVID, probablement en pire. Peut-être faudra-t-il en passer par là, vu la foule de personnes intubées par l’éducation et les médias de masse. Peut-être pas…
Voici une brochure rédigée à un an de la date où le monde pourrait basculer officiellement dans le « nouvel ordre mondial », officiellement parce qu’en réalité, nous y sommes déjà en plein.
1 W.H.O. en anglais World Health Organisation
2 À travers le R.S.I., Règlement Sanitaire International
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