Injection contre les HPV : controverse

Le pouvoir en place (gouvernement, administrations et académies) propose aux adolescents de 11 à 14 ans de se faire injecter le produit de MERCK nommé Gardasil(r), soi-disant pour prévenir un cancer de l’uterus trente – quarante ans plus tard. Vous pouvez observer cette propagande – bourrée d’images naïves https://bit.ly/3I89KnM – chez le Docteur Franck Clarot, spécialiste en imagerie médicale, président de la faculté de Médecine de Rouen, co-fondateur de “Côté Science” (il s’est aussi beaucoup investi pour faire vendre du produit injectable contre la covid-19, rien de surprenant).

Les enfants en bonne santé ne doivent courir aucun risque en se faisant injecter un produit pharmaceutique.

Voici des informations très importantes sur le Gardasil(r), extraites des sept articles parus sur le site de l’A.I.M.S.I.B. entre le 5 février et 19 mars 2023 :

  • En février 2023 aux U.S.A. s’est ouvert un procès contre le fabricant : les victimes l’accusent d’avoir caché des effets indésirables très graves avant de mettre son produit Gardasil sur le marché (https://bit.ly/3pAFsDM en anglais).
  • Les essais cliniques en double aveugle ont été réalisé non pas avec un placebo inerte mais avec un produit contenant de l’aluminium ! Après cela, Merck a observé des effets indésirables dans les deux groupes (l’un injecté avec le Gardasil, l’autre avec le placebo) et donc a conclu que son produit était sûr ! L’EMA (Agence Européenne du Médicament) n’a rien demandé au fabricant : l’adjuvant au placebo est inconnu, on ne dispose strictement d’aucune étude de toxicologie de ce produit !
  • Jamais MERCK n’a réellement démontré que son produit prévenair le cancer du col de l’uterus. Selon Diane Harper, experte mondiale sur ce cancer : “il faudrait 60 ans de vaccination d’au moins 70 % de toutes les filles de 11 ans pour réduire les taux de cancer du col de l’utérus aux États-Unis“.
  • Le Gardasil est soupçonné d’induire des cancers : à éliminer certaines souches du HPV, d’autres seraient favorisées et provoqueraient le cancer. Après l’introduction du vaccin contre le PVH en Grande-Bretagne, les taux de cancer du col de l’utérus chez les jeunes femmes âgées de 25 à 29 ans ont augmenté de 54 %
  • Le problème de la corruption se pose : certains jeux d’influence sont face visible sur la table, mais on ne s’explique pas la faiblesse des autorités sanitaires devant le peu de rigueur à évaluer l’innocuité des produits non seulement qu’elles autorisent et qu’elles préconisent (publicité pour des produits pharmaceutiques).

Aujourd’hui, je publie une synthèse des articles de l’A.I.M.S.I.B :

Parents, élus, responsables, la vie et la santé des enfants est en jeu. Vous ne pourrez pas dire : “on ne savait pas”, “on ne soupçonnait pas”.

Pour plus d’informations, voir ma page de controverse sur quelques vaccins https://p-plum.fr/?page_id=424

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