J’ai sacrifié la vérité pour que mon article sur le changement climatique soit publié

Je vous conseille l’article de Patrick T. Brown, docteur en climatologie, codirecteur de l’équipe Climat et énergie du Breakthrough Institute. Article initialement publié le 9 septembre 2023 par The free press sous le titre I Left Out the Full Truth to Get My Climate Change Paper Published. Traduit par lé rédaction :

“J’ai sacrifié la vérité pour que mon article sur le changement climatique soit publié”
https://www.climato-realistes.fr/jai-sacrifie-la-verite-pour-que-mon-article-sur-le-changement-climatique-soit-publie/

“Si j’ai pu récemment être publié dans Nature, c’est parce que je m’en suis tenu à un récit dont je savais qu’il serait apprécié par les éditeurs. Pourtant, ce n’est pas ainsi que la science devrait fonctionner.” Patrick T. Brown

Ce témoignage de Brown rejoint celui du Français Jacques Benvéniste sur comment fonctionne la science académique. Dans son livre “Ma vérité sur la mémoire de l’eau“, il décrit comment les acadamies ont déqualifié sa publication dans Nature en 1988 parce qu’elle remettait en cause la base de ses enseignements. Ce chercheur a découvert – par hasard – qu’après très haute dilution, une solution qui avait contenu un produit A réagissait avec un produit B. C’est qu’un journaliste a appelé “la mémoire de l’eau”. L’expression est restée.
Cette découverte est bouillonante car en biologie, l’idée de base de la science académique, c’est que s’il n’y a pas de molécule, il n’y a rien. Tous les enseignements dans les lycées, les facs, les écoles est basé là-dessus. Et comme les académies refusent d’intégrer les faits mis en évidence par JB, ça en devient un dogme. Pourtant, il est évident que l’eau conserve la capacité de réactiver le produit A même s’il n’y a plus une seule molécule de A, probablement par électro-magnétisme. Il est évident que cela promet une recherche palpitante (voir le livre de jean-Pierre Lentin “Ces ondes qui tuent, ces ondes qui soignent)… que les institutions refusent absolument d’ouvrir.

D’autre dogme ont existé. Je me souviens du médecin généraliste de Roubaix André Gernez, qui avait publié en 1968 un livre comprenant diverses thèses en médecine, dont une qui remettait en cause l’idée selon lequel les cellules du cerveau ne pouvaient pas se regénérer. Il a montré le contraire, et finalement après des dizaines d’années, ça a fini par s’imposer à la communauté internationale. Dans le cas de la mémoire de l’eau, c’est toujours par contre un tabou absolu.

Sur le changement climatique, c’est aussi devenu un dogme tenu par des nouveaux curés, la blouse blanche ayant remplacé la soutane. Le témoignage de Patrick T. Brown est essentiel : il dit tout ce qui devrait être et tout ce qui n’est pas. Sa parole de chercheur dans l’institution n’est pas libre : elle est sous emprise.

Quand j’étais en thèse de 1995 à 1999 à Toulouse, j’ai bien perçu que la carrière des chercheurs était entièrement conduite par les histoires de publications et d’avancements par le nombre et le prestige des publications. Ça m’a d’ailleurs détourné du métier : pas envie de jouer des coudes dans cette situation où les crabes sont entassés les uns sur les autres. Ma thèse était une sorte d’énorme bibliographie : j’avais découvert que beaucoup de laboratoires étudiaient le même sujet avec des formalismes différents, mais sans jamais se l’avouer. Situation grotesque.

J’évoque rapidement la médecine : si vous avez lu Christine Cotton, biostatistienne formée à Toulouse chez Pierre-Fabre, vous avez vu à quel point le produit injectable contre la covid n’a strictement jamais démontré une efficacité : elle explique dans son livre cette arnaque apparue en décembre 2020, un message subliminal disant qu’il était efficace à 95% ! De même, elle explique pourquoi Pfizer n’a absolument pas démontré que son produit injectable évitait les formes graves : pas assez de cas, statistiques non pertinentes.

Aujourd’hui, je constate depuis mon bureau la déchéance de ces institutions qui se disent “scientifiques”. Il existe bien des gens honnêtes dans ces organisations. Mais à coup sûr, l’ensemble est un train lancé à grande vitesse, duquel on ne peut pas descencre autrement qu’en sautant par la fenêtre. Toutes les personnes qui souhaitent redresser la barre finissent par soit partir d’elles-mêmes, soit être exclues. Christine Cotton n’auraient pas pu jouer la lanceuse d’alerte si elle avait été sous contrat…

La science a été instrumentalisée tout au long du XXè siècle : l’industrie du tabac s’en est donné à cœur-joie de créer des publications scientifiques remettant en doute le danger des cigarettes pour la santé. L’industrie de l’amiante, l’industrie du plomb dans l’essence, les pesticides, le nucléaire, les ondes des téléphones portables : ils utilisent tous la science académique pour imposer leurs saloperies qui n’ont logiquement rien à faire dans notre environnement car ils nous nuisent. Voir le livre de Matthieu Amiech “L’industrie du complotisme”

Ça continue parce que nous les laissons faire.
Le pouvoir que nous avons est réel. On peut à sa manière et en même temps que construire de nouvelles relations avec les personnes et la nature :

refuser d’acheter les vignettes crit’air,
refuser la vaccination (vaut mieux favoriser son immunité par d’autres moyens),
refuser de porter un masque (qui ne sert à rien contre les virus, ça passe entre les mailles),
refuser de créer une identité électronique,
refuser d’avoir un smartphone,
etc.

Ci-dessous, j’ai compilé mes références en tant que gieco-sceptique. Je vous les livre de manière brute. Parfois, vous observerez un peu de malhonnêteté, des biais, des exagérations. Inévitable. Mais l’ampleur de la constestation est là : c’est un fait. Il n’y a pas consensus sur l’hypothèse du réchauffement anthropique, donc c’est de la science du climat.

J’ai sacrifié la vérité pour que mon article sur le changement climatique soit publié

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