La vision de l’avenir de l’ONU : Un “organe faîtier” et une carte d’identité numérique pour nous gouverner tous

Le Secrétaire général de l’O.N.U. Antonio Guterres (au centre) pose pour une photo avec Melinda Gates, coprésidente de la Fondation Bill et Melinda Gates, et Jack Ma lors de la remise du rapport du Groupe de haut niveau sur la coopération numérique. Crédit photo : UN Photo/Eskinder Debebe

Publié par : Jacob Nordangard 13 juin 2023

Technocracy News and Trend : https://www.technocracy.news/uns-vision-of-the-future-an-apex-body-and-digital-id-to-rule-us-all/

L’ONU a parrainé le “Groupe de haut niveau sur la coopération numérique”, coprésidé par Melinda Gates de la Fondation Bill & Melinda Gates et Jack Ma, créateur du système chinois de notation du crédit social de la Chine. Ce groupe d’archi-technocrates est en train de décider de l’avenir de l’humanité : numérisation totale et contrôle total. Cette fête de l’amour des oligarques mondiaux doit être répudié à tous les niveaux.⁃ TN Editor

Les Nations unies ont récemment publié trois nouvelles notes d’orientation “pour fournir plus de détails sur certaines propositions contenues dans Notre programme commun” – La vision du Secrétaire général de l’ONU pour l’avenir de la coopération mondiale qui sera décidée lors du « Sommet du Futur » en septembre 2024. Ces briefings ; un Pacte mondial pour le numérique, des réformes de l’architecture financière internationale et un futur pour la gouvernance de l’espace extra-atmosphérique tracent une voie glaçante pour notre avenir.

Parmi les propositions, un nouvel “organe faîtier” en charge de l’ensemble du système financier qui “renforcera sa cohérence et alignera ses priorités sur l’Agenda 2030 pour le développement durable.” Selon le Secrétaire général António Guterres, cela pourrait se faire par le biais d’un “Sommet biennal entre le Groupe des 20, le Conseil économique et social, le Secrétaire général et les dirigeants des institutions financières internationales.”

Cela permettra d’intégrer davantage le G20 aux Nations unies dans un organe que l’on peut décrire comme un Conseil de sécurité économique. Il s’agit également d’un nid parfait pour les “prédateurs suprêmes” qui dirigent le système bancaire international.

La connectivité numérique et la mise en place d’un Pacte numérique mondial constituent également un élément essentiel de l’ordre du jour. Celui-ci peut être décrit comme un organe cybernétique, composé d’un réseau numériquement connecté de personnes, d’entités, d’appareils et d’objets, qui peut facilement être dirigé par ceux qui gèrent le système. Dans la note politique, il est par exemple expliqué comment la numérisation contribuera à atteindre les objectifs mondiaux. Ces suggestions sont très proches de celles formulées par le Forum économique mondial et PwC dans leur rapport intitulé “Unlocking Technologies for the Global Goals in 2020 [PDF]” (déverrouiller les technologies pour atteindre les objectifs mondiaux en 2020). L’identification numérique est une pierre angulaire de ce travail et est considérée, entre autres, comme un moyen de réduire la pauvreté.

Cela peut toutefois avoir un coût. Le rapport du groupe de haut niveau sur les coopérations numériques du Secrétaire général des Nations unies, intitulé Age of Digital Interdependence (L’ère de l’interdépendance numérique) à partir de 2019, indique que :

Une carte d’identité numérique peut contribuer à ouvrir de nouvelles perspectives, mais elle peut aussi présenter de nouveaux risques et défis. Ils peuvent être utilisés pour porter atteinte aux droits de l’homme, par exemple en permettant de cibler la société civile ou d’exclure certains groupes des avantages sociaux.

Allez-vous bénéficier de votre couverture sociale si vous ne vous conformez pas aux vaccinations ou aux autres mesures mises en place pour atteindre les ODD ? Probablement pas. Ces mesures pourront ensuite être fusionnées avec un système de crédit social et une monnaie numérique de la banque centrale (CBDC) – qui est actuellement introduite et testée dans de nombreux pays à travers le monde. Pour recevoir son pain quotidien, il faut obéir et accepter les instructions des maîtres qui dirigent le spectacle. Si les Nations unies déclarent une “urgence planétaire”, cela aura de graves conséquences pour nos libertés (comme nous l’avons vécu pendant la pandémie).

Dans la note d’information intitulée “Un pacte numérique mondial”, les auteurs mentionnent en toute sincérité l’augmentation des inégalités après la pandémie.

Les technologies numériques accélèrent la concentration du pouvoir économique au sein d’un groupe de plus en plus restreint d’élites et d’entreprises : la richesse combinée des milliardaires de la technologie, 2 100 milliards de dollars en 2022, est supérieure au produit intérieur brut annuel de plus de la moitié des économies du groupe des 20.

Mais il semble que les Nations unies aient une façon un peu particulière de résoudre ce problème. Non seulement elles s’efforcent de tout numériser, mais elles se sont également associées à Big Tech pour y parvenir.

Sur la chaîne des Nations Unies

Le groupe de haut niveau du secrétaire général des Nations unies sur la coopération numérique était dirigé par Melinda Gates de la Fondation Bill & Melinda Gates (selon la biographie, Melinda “a aidé à développer de nombreux produits multimédias de l’entreprise” pendant qu’elle travaillait chez Microsoft) et le milliardaire de la technologie Jack Ma du groupe chinois Ali Baba.

Ceci avec l’aide de jeunes leaders mondiaux comme Mohammed Al Gergawi (président du rassemblement high-tech de la Mecque – Sommet mondial des gouvernements à Dubaï), et Marina Kolesnik (Russie/Ukraine) ainsi qu’une “généreuse” contribution du Centre pour la quatrième révolution industrielle du Forum économique mondial.

Ali Baba a développé le système chinois de crédit social par l’intermédiaire de sa filiale Ant Group, tandis que Microsoft promeut l’identification numérique dans le cadre de l’Alliance ID2020, en collaboration avec GAVI – l’Alliance pour la vaccination – et la toujours très présente Fondation Rockefeller.

Les Nations unies semblent avoir engagé une bande de voleurs pour gérer la banque. Il s’agit des “dépositaires de l’univers matériel pour les générations futures”, comme l’affirme le Manifeste de Davos des élites économiques mondiales, datant de 1973.

Pourquoi diable ces “gardiens éclairés” voudraient-ils inverser une évolution qui leur a permis d’accroître leur pouvoir et leur richesse ?

Et maintenant, nos “généreux” milliardaires de la technologie se dirigent vers l’espace extra-atmosphérique. Le dernier Policy Brief (The Future of Outer Space Governance [PDF]) formule la grande vision de rétablir une présence sur la lune avec une station de passage (Lunar Gateway) et le développement d’une base au pôle sud de la lune ainsi que la conduite d’une mission habitée vers la planète rouge (SpaceX d’Elon Musk).

Il s’agit là de vieux fantasmes datant de la fin des années 1940 qui ne semblent jamais se concrétiser. Mais leurs “opportunités basées sur l’espace” soulignent également le “lien important entre l’espace extra-atmosphérique et l’Agenda 2030 pour le développement durable”, avec l’importance de la surveillance par satellite pour “suivre la déforestation, surveiller les zones protégées contre le braconnage et la pêche illégale et évaluer les changements de la biodiversité”, ainsi que pour suivre chacun de nos mouvements grâce aux systèmes mondiaux de navigation par satellite.

Comme l’a proclamé Al Gore, administrateur du WEF et prophète/profiteur du climat, en ricanant dans la publicité pour son projet de surveillance par satellite Climate Trace, “Et surtout, plus de cachette” (“And most importantly… NO MORE HIDING”).

Ces personnes sont-elles folles ? Comment la construction d’un cerveau numérique mondial peut-elle réellement contribuer à une planète plus verte et plus saine ?

Ne serait-il pas plus efficace de garantir la paix et l’environnement sur cette planète si cette élite mégalomane était envoyée en mission sur Mars ?

Source originale de l’info : Blog de Jacob Nordangard : https://blog.jacobnordangard.se/whats-next-to-the-moon-an-apex-body-and-digital-id-to-rule-us-all/

Ajouts

Ça ne vous rappelle rien ?

Nous risquons plus des sanctions administratives si on obéit pas que des péripéties climatiques, lesquelles sont parfaitement naturelles, je vous inviterai à aller voir ma brochure Gieco-Sceptique, à paraître sur le blog de Puissance Plume : www.p-plum.fr

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