Derrière l’Élysée, Matignon, quels que soient les élus en place : c’est BLACKROCK & Co.

L’agenda globaliste modifie, réforme, restructure notre environnement – naturel et social – pour faire son profit. La violence succède au mensonge quand le mensonge ne marche plus. Leur trajectoire c’est de remplacer toutes les activités humaines par des machines électroniques : ce serait notre destin inévitable et ce serait pour notre bien. Le XXIè siècle serait celui où, avec la numérisation de tous les services, seulement 20 % de la population active serait utile à faire fonctionner l’économie. Mais que feraient alors les 80 % des gens « inutiles » ? Il leur faudrait un revenu minimum… mais pas gratuit !

Pourquoi « peu importe les élus » ?

Depuis 1973, la France ne peut plus battre sa monnaie : elle doit emprunter aux banques internationales[1]. Lorsqu’un candidat arrive aux postes de responsabilités, pour financer son programme, il se tourne vers elles. Elles répondent : « ça dans ton programme, on finance ; ça, on finance pas ». C’est donc leur programme qui s’applique et pas celui des élus. Et qui administre les banques internationales ? Ceux dans le monde qui ont le plus d’argent, les plus influents.

La fabrique du consentement

Avec la réforme des retraites, la violence des « forces d’un certain ordre » est bien visible. C’est le moment de remonter la piste du mensonge, d’aller voir à la racine, d’identifier ce qui nous a conduit à cela. La première chose est le conditionnement des masses par la propagande : le film de Jimmy Leipold « Propaganda : la fabrique du consentement » devrait être visionné par toute la population. L’histoire que nous raconte France Inter et tous les autres médias de masse n’est pas la notre. Nous vivons notre vie avec notre corps. Notre histoire c’est celle de nos rencontres, comme aujourd’hui en manif. N’attendons pas que les médias de masse nous racontent notre histoire, construisons-là au quotidien en cessant de les écouter, en cessant de mettre du bois dans leur feu. C’est le seul moyen.

Le projet de portefeuille d’identité numérique c’est du 49.3

Savez-vous que depuis 2014, la commission européenne a lancé un programme de développement d’une infra-structure globale nommée le Marché Digital Unique : avec une seule appli dans l’ordiphone appelée « portefeuille d’identité numérique », on traverserait les frontières de l’Union, on ferait des achats, on payerait ses factures eau gaz élec, on entrerait en discothèque, on vérifierait le statut vaccinal pour rendre visite à l’hôpital, les services de police consulteraient le casier judiciaire, les employeurs consulteraient la liste des diplômes. C’est en phase de test dans d’autres pays. Cette transformation de notre vie n’a été soumise à aucun parlement. Le développement du numérique est un non-sujet politique. Avant, c’était « Dieu qui l’a voulu », maintenant c’est « on arrête pas le progrès ».

L’argent liquide même destin que les cabines téléphoniques ?

La disparition de l’argent liquide est programmée. Officiellement, on vous dira toujours « mais vous pouvez encore payer en liquide ». Jusqu’au jour où le nombre d’utilisateurs sera devenu suffisamment faible pour le supprimer sans trop de vagues, comme c’est arrivé avec les cabines téléphoniques.

Résister à leur changement permanent

Alors que les forces d’un certain ordre se déchaîne contre ceux qui se révoltent contre la réforme de Larry Fink, il y a aussi une autre forme de résistance qui doit s’installer : identifier ce qu’ils veulent nous faire faire et refuser de le faire. Payer en argent liquide est devenu un acte révolutionnaire ! Cesser d’utiliser le smartphone, cesser d’utiliser internet, ne pas être connectés, se regrouper pour accéder aux services, est une manière, non seulement de revitaliser nos relations humaines (et tant pis pour les heurts, c’est normal) mais aussi faire mourir à petit feu le processus de transformation du monde qu’ils mènent grâce à la fascination des machines, leur puissance, leur « intelligence ». En réalité, l’« intelligence artificielle » ça n’existe pas. Relisez la définition du terme par son inventeur, Alan Turing : l’I.A., c’est le fait de pouvoir imiter l’humain ! Personne ne nous imitera : nous sommes uniques !

[1] Voir « La loi Rothschild, cause de l’endettement de la France » http://mai68.org/spip/spip.php?article1245

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A propos pplum-admin

Thèse de doctorat - Informatique Industrielle - INSA Toulouse - 1999 Licence professionnelle STER (Sciences et Technologies des Energies Renouvelables) - IUT Tarbes - 2004.

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