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J’ai rêvé que j’assassinais Kikolae Caucescauzy

mercredi 3 novembre 2010, par Puissance Plume

J’ai rêvé que j’assassinais Kikolae Caucescauzy. Ce rêve est survenu en fin de nuit, à l’aube du samedi 30 octobre. J’ai du mal à m’en remettre. J’ai pris rendez-vous chez mon docteur qui adore qu’on lui raconte les rêves. Je vous le raconte à vous lecteurs de mon site, parce que je n’arrive pas à le garder que pour moi !

Je ne sais pas si vous savez comment a été assassiné Léon Trostky ? En 1940, ce révolutionnaire haï par Staline était au Mexique à Coyoacan. C’est Ramon Mercader, un gars d’origine espagnole inscrit au parti communiste, devenu agent de l’Union Soviétique, qui a eu pour mission de le tuer. Le nom de l’opération était "Outka", ce qui signifie "Canard". Mercader s’est lié avec une fille qui allait devenir secrétaire de Trotsky, ce qui lui a permis d’aller au Mexique et d’être introduit auprès de sa victime. Une fois proche de lui, Ramon Mercader lui a planté un pic à glace dans la tête [1].

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Le pic à glace ayant servi d’arme contre trostky (propriété de la ville de Mexico)

Dans mon rêve, de même, j’avais réussi me lier d’amitié avec une amie de Karla Caucescauzy. C’est ainsi que j’avais été invité à une de ces soirées dans leur Palais. Là, j’allais aux toilettes où un complice avait planqué un pic à glace. Je le glissais dans ma manche parce que c’était un vrai pic à glace et non pas un piolet, j’avais appris auparavant à le sortir rapidement.

En revenant dans la salle, la chance avait voulu je passâsse derrière le siège de Kikolae Caucescauzy. Et là, je lui plantais le pic à glace dans le crâne. Plusieurs versions se sont succédées. Dans l’une, je recommençais jusqu’à ce qu’un garde du corps me tire une balle dans la tête. Dans l’autre j’étais immédiatement maîtrisé par les convives d’à côté.

Dans la version où je survivais, je ne restai pas longtemps en prison car tout le monde était tellement content d’être débarassé de Caucescauzy que j’étais libéré au bout de quelques années de prison, une fois le cours des choses reprises.

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Kikolae Caucescauzy

Comment procédait Hitler ?

A son confident Hermann Rauschning, Hitler n’avait pas caché le fond de sa pensée, et vous allez voir, celle de Kikolae Caucescauzy n’est pas si éloignée :


"Jamais je ne commencerai une guerre sans avoir auparavant la certitude absolue que mon adversaire, démoralisé, succombera dès le premier choc, il existe des moyens d’obtenir la décomposition intérieure de n’importe quel Etat, de façon à le vaincre ensuite sans effort. Notre stratégie consistera à détruire l’ennemi par l’intérieur, à l’obliger à se vaincre lui-même. Cette démolition d’un pays quelconque par l’intérieur n’est qu’une question d’argent et d’organisation. Le vrai travail consiste à s’attacher en terre étrangère des personnages importants, et même des groupes et des partis. Je fais établir un fichier complet de toutes les personnes influentes dans tous les pays. Une connaissance détaillée des faiblesses et des vices de chacun de nos adversaires est la condition première de toute mon action. L’appétit non satisfait et l’orgueil humilié sont des auxiliaires infaillibles. Ne pas oublier les hommes d’affaires pour qui le seul mot de profit s’écrit en lettres capitales. Vous pouvez m’en croire, j’entrerai chez les Français en libérateur. Nous nous présenterons aux petits bourgeois français comme les champions de l’ordre social [...]. Ces gens-là ne veulent plus rien savoir de la guerre et de la grandeur [2]"

Notes

[2Cité par Henri Guillemin, La Vérité sur l’affaire Pétain, Bats, Ed. d’Utovie, 1996, p. 31-32

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